• Sur le Seuil

    SUR LE SEUIL DES FLAMEL

    Rassemblant tout son courage, elle sonne. Ca la soulage et la rend nerveuse en même temps. « Tu pourrais avoir l’air plus heureuse, au moins ! Depuis le temps que tu rêves d’appuyer sur cette maudite sonnette ! »
    « Tais-toi, Marc », grogne la jeune fille à la silhouette dissimulée dans l’ombre du figuier.
    « Je te rappelle que tu n’es même pas censé être ici, alors tu vas être sympa et observer en silence. »
    « Humph !»
    Quelques minutes passent et personne ne vient ouvrir. Alice prend sa tête des mauvais jours. « Depuis toutes ces années je rêve d’entrer ici, et voilà que la maison est vide, quelle
    guigne ! »
    « Calme-toi, Al’ », tempère le garçon. « Ce n’est pas comme si on attendait là depuis une demi-heure.»
    « Ca ne servira à rien d’attendre ici plus longtemps, on y va ! »

    A peine ont-ils tourné le dos à la maison qu’un grincement déchire le silence. Les deux amis se retournent : la porte est ouverte mais...
    « Personne ! »
    « C’était sans doute un coup de vent », propose Marc.

    « La porte m’avait pourtant semblée fermée à clé.»
    « Qu’est-ce que tu en as à faire ? Tu peux rentrer, c’est l’essentiel ! » « Tu as raison. »

    Voilà les adolescents engagés dans un couloir sombre, dont le parquet craque à chacun de leurs pas.
    « Ca sent le vieux » remarque Alice. « Peut-être que c’est le vernis des lattes. »
    La maison semble réellement déserte : tout y est poussiéreux et les araignées semblent avoir fait des escaliers leur lieu de réunion.

    « Pourquoi tenais-tu tellement à entrer ici, de toute façon ? »
    « Euh... Je ne sais pas trop, en fait. J’avais vu quelqu’un dans cette maison une fois, et on disait qu‘elle était hantée, alors je voulais savoir si c’était un fantôme. Ou peut-être parce que quelqu‘un y jouait de la flûte tous les soirs pendant un mois... J’adore la flûte, et cette personne jouait vraiment bien. »
    « C’est tout toi, ça, faire un fixe sur un mystérieux joueur de flûte que tu as à peine entre aperçu ! »
    « Tais-toi, Marc, tu m’exaspères. Je peux me permettre de te rappeler que tu es venu sur un pari car tu as ... peur du noir, c’est ça ? »
    « C’est bon, c’est bon, pas la peine de me le rabâcher.»

    Alice et Marc, désormais silencieux, débouchent peu à peu sur un dédale de pièces toutes plus désertes les unes que les autres. La maison est plus grande qu’elle ne semble.
    « Tu es sûre d’avoir vu quelqu’un là-dedans ? »
    « Ca-té-go-rique, mon vieux. Il avait l’air plutôt jeune, d’ailleurs, mais c’était il y a ... »

    « Deux ans ? » « Non. »
    « Quatre ans ? » « Non. »

    « Ca ne peut pas être il y a huit ans, tout de même !»

    «...»
    « Vous parlez de moi ? »

    Alice et Marc se retournent brusquement. Leur interlocuteur a des cheveux bruns effilés qui lui parsèment le visage de mèches fines, des yeux gris et une dégaine gothique. Une flûte dépasse de sa poche. Il ne semble pas avoir plus de quinze ans.
    «Vous avez l’air surpris de me voir. Je suis désolé de ne pas être venu ouvrir la porte, j’étais », il hésite un instant « ... ailleurs. »


    Les deux autres restent silencieux ; ils se regardent avec un air ahuri. Alice est la première à parler. Le mystérieux garçon la regarde avec un petit sourire condescendant, cynique, et très énervant.

    « Tu n’as pas, euh, tu n’es pas plus... enfin, tu n’a pas changé en huit ans ? »

    « Ah, on se connaît ? »
    « Pas vraiment, j’habite en face et je t’ai regar..., enfin, aperçu à la fenêtre. »
    « On est voisins, alors. Je m’appelle Aaron, enchanté. »
    Alice tend sa main à Aaron qui ne fait pas de même. Il semble attendre quelque chose.
    « Euh, Aaron ? »
    « Ton prénom, enfin ! Tu n’as jamais appris à te présenter correctement ? »
    « A-alice », bredouille cette dernière. « Je m’appelle Alice. »
    Un regard perçant posé sur Marc l’incite à faire de même. Mais en serrant la main de leur hôte, il remarque un détail étrange : un tatouage sur la paume. Un cercle, une étoile sur laquelle est dessinée un visage.
    « Un pentacle ... »
    « Ah, tu as remarqué mon tatouage ? Il est beau, n’est-ce pas ? Il paraît qu’un pentacle dessiné sur la main aide pour les rites alchimiques, mais je n’ai remarqué aucune amélioration pour l’instant.»
    Alice et Marc échangent un regard inquiet. Sur quelle sorte d’excentrique sont-ils tombés ?
    « Vous voulez voir mon laboratoire ? »
    « Pourquoi pas, mais...ce n’est pas un peu dangereux ? »
    « L’alchimie ? Pas du tout, allez, suivez-moi ! »

    Peu de temps après, les trois adolescents débouchent sur une salle spacieuse sous les combles de la maison. Partout, des étagères recouvertes de vieux livres et de fioles en verre remplies de mélanges louches ; sous le rayon de lumière diffusé par l’unique lucarne, une table tapissée de plans et de notes.

    « Faites attention où vous marchez », prévient Aaron
    En baissant les yeux sur le parquet patiné, Marc découvre la forme d’un gigantesque pentacle dessiné à la craie.
    « Cet endroit est magnifique », s’exclame Alice. « C’est comme un retour au 19e siècle ! »
    « Et tu fais ça par passion ? » demande Marc.
    « Oui, je pratique l‘alchimie depuis que j’ai sept ans », explique Aaron. « Je suis persuadé que c’est une vraie science et je cherche un moyen de faire marcher les formules que j’ai trouvées dans la bibliothèque familiale. »
    « Familiale ? »
    Aaron se retourne et se dirige vers la table. Il ouvre un tiroir et en sort un portrait ancien. L’homme représenté est assez frêle, mais son sourire énigmatique et ses yeux étrangement brillants semblent lui donner une aura de force étonnante.
    « Je ne vous l’ai peut-être pas encore dit, mais je suis le descendant de Nicolas Flamel. 
    »

     

    Les deux adolescents ont du mal à croire ce qu’ils viennent d’entendre. Ce garçon ferait donc partie de la famille du légendaire alchimiste ? Cela expliquerait son comportement un peu hautain à leur égard, mais l’idée même semble difficile à croire.
    « Vous ne me croyez pas, c’est ça ? »

    « Pas du tout, c’est juste que... »
    « Bah, ça n’a aucune importance. Vous voulez que je vous le prouve ? »

    Aaron s’avance vers le centre de la pièce, où le pentacle est dessiné. Il souffle un peu sur les lattes pour enlever la fine couche de poussière qui s’y était déposée et fait signe à Alice et Marc de s’avancer.
    « Placez-vous au centre de l’étoile et restez immobiles. »

    Ils s’exécutent et se regardent, un peu effrayés.
    « Qu’est-ce que tu crois qu’il va nous faire, Alice ? » chuchote Marc.
    « Je ne sais pas, on n’a qu’à attendre pour voir.»
    « C’est parti ! »
    Aaron place ses mains sur le bord du cercle et murmure une étrange mélopée qui se fait de plus en plus forte et semble envelopper les deux amis, dos à dos au centre du pentacle.

    Soudain, le dessin de craie se met à briller comme si une lumière perçait à travers les traits au sol, et Aaron est enveloppé par une spirale de vent chaud qui semble l’hypnotiser.
    « Regarde ! »
    C’est Alice qui a poussé ce cri. Elle tend sa main à Marc qui sursaute. Celle-ci brille!

    « Toi aussi, Marc ! »
    En effet, le même phénomène lui arrive.
    Les adolescents sont bientôt recouverts d’une aura luminescente qui leur donne l’apparence de spectres. Quand à Aaron, celui-ci a pris un air solennel qui le métamorphose entièrement. Marc croit même reconnaître, pendant quelques instants, le visage de Nicolas Flamel...

    En quelques instants, tout s’arrête. Le pentacle s’éteint lentement, les cheveux d’Aaron retombent sur son visage, et les deux amis retrouvent leur apparence normale.
    « C’était ... extraordinaire ! », souffle Marc.
    « Ce n’était qu’une petite démonstration », réplique Aaron avec un sourire satisfait. Si je m’étais vraiment concentré, j’aurais pu vous rendre invisibles... »

    « Alors, ce pouvoir est transmis de génération en génération ? »
    « Exactement, tout comme la maison. Et les secrets qui vont avec. Vous me suivez ? Je vais vous faire visiter. »
    Et il s’engage dans le couloir sans laisser le temps aux deux visiteurs d’esquisser un geste.

    Pendant une dizaine de minutes Alice et Marc suivent Aaron à travers un véritable labyrinthe d’escaliers, de portes dérobées et de passages étroits et poussiéreux. Marc commence à paniquer lorsqu’ils se retrouvent dans le noir total, à un étage indéfini :
    « On arrive bientôt ? »

    « Ne t’inquiète pas, le temps que je trouve la porte... »
    En effet, leur guide tâtonne quelques instants dans le noir, puis une lumière éblouissante illumine ce qui se révèle être une pièce sous les combles, recouverte de dessins de constellations. Aaron leur cède le passage vers un balcon doté d’une échelle, et fait signe aux deux adolescents d’y grimper.
    « En haut se trouve mon poste d’observation des étoiles. Prenez garde, les tuiles sont glissantes. »

     

    Ils se retrouvent très vite sur le toit, adossés à la cheminée tant la vue est vertigineuse. Leur guide, lui, astique un télescope qui semble aussi ancien que la maison.
    « C’est dommage que vous soyez venus en plein jour, la vue est magnifique de nuit et les étoiles sont si nombreuses ! »

    « Marcher sur un toit, ce n’est pas trop mon truc », avoue Alice blanche comme un linge.
    « J’ai le vertige depuis aussi longtemps que je me rappelle... »
    « Et tu te moques de ma peur du noir ? » s’étouffe Marc.
    « Ce n’est rien, Alice, si tu penses que tu vas tomber, redescendons. Presque tout le monde a des faiblesses ... »

    Le sourire condescendant d’Aaron commence sérieusement à énerver Alice. Mais elle doit vraiment avouer qu’elle a la tête qui tourne.

    D’un coup, sans prévenir, la jeune fille glisse le long des tuiles rouges et, sans un bruit, tombe du toit.

    «Alice !»
    Marc se précipite sur le rebord du toit, dans l’espoir d’y retrouver son amie accrochée. Mais il ne voit rien, ni sur la gouttière, ni en contrebas.
    « Tu ne vois rien ? » demande Aaron, qui a rejoint son invité sur la corniche.
    «Non. ALICE ! » s’égosille Marc, qui a l’air aussi inquiet d’avoir perdu la jeune fille que d’être enfermé dans un réduit obscur.
    « Ca ne sert à rien de crier. Elle a traversé les barrières. »

    « Les barrières ? »
    Cinq minutes plus tard, voilà les deux garçons redescendus et affairés à dessiner un autre pentacle sur le pas de la porte de la maison. Marc obéit aux ordres d’Aaron sans trop comprendre.
    « Les barrières... Hé, Monsieur Flamel, on peut savoir de quoi vous parlez ? »
    « Les Barrières sont des clôtures invisibles qui protègent ma propriété des alchimistes potentiels qui traîneraient dans le coin. La meilleure protection étant de passer inaperçu, le sort qui entoure la maison lui redonne la même apparence qu’il y a neuf ans, avant que je n’y emménage. Mais ton amie m’a remarqué je ne sais pas pourquoi. La seule raison que je trouve est la possibilité qu’elle ait des pouvoirs alchimiques de naissance. C’est rare de nos jours. »
    « Et... C’est aussi pour ça qu’elle a disparu ? »
    « Elle est probablement sous la maison en ce moment. »
    « Ca ne répond pas à ma question ! »
    « Oui... Ce que tu peux être impatient, à la fin ! », grogne Aaron. « Les barrières ont dû réagir à ses pouvoirs et la mettre, si j’ose dire, au frais, dans un endroit où ses capacités alchimiques lui seront retirées. Mais je ne vois pas pourquoi ça ne s’est pas passé plus tôt... Sans doute a- t-elle réagi instinctivement en tombant. »
    « Et on va... »
    « Passer les barrières grâce à ce pentacle qui en annule les effets et tenter de la retrouver avant que ses pouvoirs ne lui soient retirés. Gare à la chute ! »
    Et les deux adolescents sont aspirés par une force inconnue jusqu’à une galerie humide et sombre.

    « Cette maison est vraiment horriblement noire ! Tu ne t’éclaires qu’à la bougie ? Je n’ai pas vu la moindre lampe depuis le début de la journée. »
    « Je m’éclaire surtout avec des sortes de feux follets artificiels très faciles à créer et qui demandent peu d’énergie. C’est moins cher que de payer l’électricité. »

    C’est vrai, pense Marc, je ne me suis jamais demandé comment il faisait pour vivre.

     « Je matérialise de l’argent, si tu penses à ça en ce moment », déclare Aaron. « Ce n’est pas très honnête mais ça peut être utile. »

    « C’est génial « ! Tu pourras m’apprendre la formule ? »
    « Chut ! »

    Aaron s’est arrêté sur ses pas. Il tend l’oreille, à présent.
    « Tu l’entends ? »
    « Quoi ? »
    « Je crois que c’est Alice qui hurle dans la galerie ouest. » En effet, Marc croit entendre un faible bruit.

    « Ce n’est peut-être pas elle. »
    « Il suffit de vérifier ! »
    Aaron pose alors ses mains paumes vers le sol et le bruit qui entoure la galerie s’intensifie soudainement.
    « Formule d’amplification des sons... je me disais bien que ce tatouage me servirait un jour. », déclare le jeune homme à Marc qui le fixe avec un air épaté.
    « C’est bien Alice, allons-y ! »

    La jeune fille est dans une salle voutée qui semble remplie d’un brouillard luminescent. Ses traits sont étrangement tirés et elle flotte à un mètre du sol.
    « Elle est en transe... Mauvais signe ! Ca veut dire que ses pouvoirs seront bientôt épuisés. » « C’est la brume qui fait cet effet ? », demande Marc.

    « Non, les capacités d’Alice forment une brume quand ils sont extraits de son corps. » « Il faut faire quelque chose ! »
    « Je ne peux rien faire », dit Aaron. « C’est à elle de se sortir de là. »
    « ALICE ! »

    Il semble que le cri de Marc a eu un effet sur cette dernière. Elle relève la tête et semble sortir d’un long rêve ; ses yeux, quoique ouverts, semblent morts.
    « ALICE ! »
    Le mot rebondit sur les murs de la pièce et ne s’arrête pas.

    « Alice...lice...lice...lice...lice...lice... »
    Les dalles de pierre s’illuminent.
    « Lice...lice...lice...lice...lice... »
    La brume fantomatique forme un tourbillon qui enveloppe Alice de son aura blanche. « Lice...lice...lice...lice...lice...lice... »

    La tornade disparaît dans le corps de la jeune fille comme de l’eau dans un maelstrom. « Lice...lice...lice. »
    Alice tombe au sol et tout se tait.

    Aaron et Marc accourent vers elle.
    « Alice ! Tu n’as rien ? »
    Celle-ci relève la tête.
    « Tes yeux... Qu’est-ce que tu as fait à tes yeux ? »
    Derrière les mèches brunes, deux ambres brillent d’un éclat fiévreux.

    « Adieu, Aaron. Merci pour tout et bonne chance dans tes expériences. » Sur le seuil de la porte, les trois amis se disent au revoir.

    Deux heures plus tôt, Aaron a expliqué l’origine des yeux d’Alice.

     

    « Ton corps contient des capacités dites « brutes ». Ces prunelles dorées en disent long... Il semblerait que le choc des deux forces alchimiques - en l’occurrence la tienne et la mienne - aient forcé tes pouvoirs à réagir et à se manifester. Tu pourras désormais les utiliser quand bon te semble, à condition, bien sûr, de connaître les bases de l’alchimie.

    Il tend un carnet rapiécé à Alice.
    « Ce vieux guide appartient à ma famille depuis des générations. C’est un peu le B-A BA de l’alchimie. Vu la force que tu possèdes, je ne serais pas étonné que tu parviennes à t’en servir sans pentacle, avec un peu d’entraînement. »
    « Merci. On ne pourrait pas se revoir un de ces jours pour s’entraîner ensemble ? »
    « Non. », sourit Aaron.
    « Pourquoi ? »
    « Avec ta visite, je me suis rendu compte que n’importe quelle personne avec un peu d’expérience alchimique ou des pouvoirs potentiels, pouvait me découvrir. Je mettrai un sort trois fois plus puissant sur mon domaine désormais. Je suis désolé pour vous car vous m’êtes sympathiques, mais ce ne sont pas deux nouveaux amis qui vont me convaincre de laisser tomber mon héritage. Il est largement temps que vous rentriez chez vous, je vous raccompagne. »
    « Hé, Aaron, une dernière chose », crie Marc en se faisant pousser vers la porte. « Pourquoi Alice a arrêté son état de transe quand j’ai crié son nom ? »
    « Ca... Je suppose que c’est l’écho et la violence de ton cri qui ont créé des vibrations suffisamment fortes pour l’atteindre. Cela dit... Au revoir. »

    Alice et Marc se retrouvent au soleil de midi sur la place fleurie du petit village provençal. « On y va ? »
    « Oui... ». Alice se retourne brusquement.
    « J’ai perdu ma montre chez Aaron ! Rentre chez toi, Marc, je retourne là-bas. »

    « Je viens avec toi ! »
    « Ca ne te servira à rien ! »
    « J’ai envie de le revoir une dernière fois... Lui et son tatouage.»

    Les voilà de retour devant la maison. Avant de sonner, Alice se trouve soudainement victime d’un horrible doute : et si tout cela n’avait été qu’un rêve ?
    Marc s’adosse au muret sous le figuier.
    Rassemblant tout son courage, elle sonne...

     

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    « Red prend la plume (enfin!)Thank you!! »

  • Commentaires

    1
    lolo-chan33 Profil de lolo-chan33
    Dimanche 25 Novembre 2012 à 18:48

    la fin est complique a comprendre mais sinon ta de vrai talent d'écrivain j'ai tout lu sans meme m'ennuyer un instant :D et j'adore l'histoire^^

    2
    Carole C.
    Mercredi 16 Janvier 2013 à 13:47

    Je viens enfin de prendre le temps de lire ta nvelle, excuse-moi j'ai été très prise jusqu'à présent! Elle est très bonne, bravo!! C'est vraiment pas mal du tout! Tu utilises un bon vocabulaire, la lecture est facile et c'est très descriptif. Quant à l'histoire, tu as bcp d'imagination!! C'est bien, tu nous tiens avec le suspens qu'il faut. Seul reproche, je sais bien que c'est une nouvelle, mais c'est trop court!! Tu peux très bien la développer en histoire plus longue avec tte ton imagination. ;)

    Gros bisous ma belle 

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